À propos du projet « L’enfance en évolution »

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Couverture du rapport du projet « L’enfance en évolution » de l’UNICEF

Les résultats

Statistiques relatives à l’enquête de l’UNICEF et du Bureau des éclairages mondiaux et des politiques (OGIP)

Enquête UNICEF-Gallup 2021

UNICEF et Gallup World Poll

L’enquête

Les enquêtes

À propos du projet « <0>L’enfance en évolution</0> »

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En moyenne, une majorité de <0>jeunes</0> sont d’avis qu’il est très important de faire entendre la voix des enfants.

Cela n’est pas très surprenant. Il s’avère même que les <0>personnes plus âgées</0> ont tendance à partager cet avis !

<0>Les pays en développement</0> affichent les plus vastes majorités favorables à la prise en compte de la parole des enfants par les responsables politiques.

Il peut s’avérer particulièrement judicieux de tenir compte de l’opinion des enfants dans les pays en développement, au sein desquels ils représentent <0>une vaste proportion</0> de la population.

Parmi les personnes âgées de 40 ans et plus, le plus grand soutien en faveur de la prise en compte des opinions des enfants par les décideurs est relevé au <0>Nigéria…</0>

…et au <0>Zimbabwe.</0> Dans ces deux pays, les enfants représentent la moitié de la population.

La plupart des enfants ne disposent pas du droit de vote. Ils ont cependant d’autres moyens de faire entendre leur voix. Qui écoute ?

Comment encourager les politiciens à <0>écouter davantage</0> les jeunes ?

Le pouvoir des enfants

Une vaste majorité de personnes pense que <0>l’enfance s’est améliorée</0> à bien des égards dans la plupart des pays au cours de la dernière génération.

S’il est vrai que trop d’enfants dans le monde sont encore confrontés à des difficultés et ne peuvent satisfaire leurs besoins les plus élémentaires, on ne peut nier que <0>d’énormes progrès</0> ont été accomplis pour la plupart des enfants.

En effet, les <0>jeunes</0> et <1>leurs aînés</1> sont pour la plupart convaincus que des progrès ont été accomplis pour l’enfance dans les domaines de la santé…

…et de l’accès à de l’eau salubre.

D’autres progrès sont également reconnus par les différentes générations — quoiqu’à un degré moindre — s’agissant de la qualité de l’éducation…

<0>Les jeunes</0> et <1>leurs aînés</1> sont moins convaincus par le fait que des progrès aient été accomplis en faveur de la santé mentale des enfants.

Leurs avis reflètent globalement la réalité : Ces trente dernières années, d’<0>impressionnants progrès</0> ont été constatés dans le monde, notamment en matière d’accès à de l’eau salubre, de réduction de la malnutrition chez l’enfant ou encore de prestation de soins de santé essentiels. En 1990, 9 % des enfants ne survivaient pas jusqu’à leur cinquième anniversaire. En 2020, ce chiffre avait chuté pour atteindre moins de 4 %.

Dans l’ensemble, les jeunes sont plus susceptibles de reconnaître des marqueurs de progrès en faveur des enfants.

La nostalgie peut parfois constituer une force considérable. Pour ce qui est de l’enfance, l’évolution est-elle positive ?

L’enfance avance

En moyenne, une écrasante majorité de jeunes (86 %) affirme qu’il est encore possible de réduire la plupart des effets dévastateurs des changements climatiques. <0>Ils gardent espoir !</0>

En moyenne, 73 % des jeunes pensent que leur gouvernement <0>devrait prendre des mesures concrètes.</0>

Bien que cela puisse paraître surprenant, nous n’avons pas relevé d’écart générationnel significatif sur ce sujet : Les personnes plus âgées sont tout autant susceptibles de penser que les pires conséquences des changements climatiques peuvent être évitées et qu’une intervention ambitieuse de la part du gouvernement est nécessaire.

Nous avons cependant identifié un domaine dans lequel le point de vue des générations diffère : la <0>coopération</0> entre les pays pour relever les plus grands défis mondiaux.

En effet, les jeunes <0>soutiennent davantage</0> l’idée que les gouvernements nationaux devraient œuvrer ensemble plutôt que chacun de leur côté.

Cela est particulièrement vrai en <0>Indonésie,</0> aux <1>États-Unis,</1> au <2>Nigéria,</2> au <3>Bangladesh</3> et au <4>Mali.</4>

Nous avons constaté que ce sont les jeunes des <0>pays les plus pauvres</0> qui sont les plus favorables à une intervention du gouvernement pour lutter contre les changements climatiques.

Ce constat est révélateur, car ces pays disposent de ressources et de moyens plus limités pour lutter contre la crise climatique, bien qu’ils soient les <0>plus exposés</0> à ses conséquences.

Nous pouvons observer partout les ravages de la crise climatique. Des gouvernements, des entreprises et des personnes redoublent d’efforts pour atténuer ses effets. Cela suffira-t-il ?

Quelle <0>action</0> souhaiteriez-vous voir votre gouvernement entreprendre pour lutter contre les changements climatiques ?

Action climatique

Apprenez-en davantage sur cet aspect de l’évolution de l’enfance.

Consultez le site interactif pour découvrir comment les jeunes perçoivent différemment notre monde en constante évolution

L’enfance en évolution | UNICEF x Gallup

Si les avis concernant la discrimination à l’égard des femmes, des minorités ethniques, raciales et religieuses ne sont pas clairement différents d’une génération à l’autre, ils le sont davantage en ce qui concerne les <0>droits de la communauté LGBTQ+.</0>

À cet égard, les jeunes se montrent bien plus concernés par la question de l’équité que leurs aînés dans presque <0>tous les pays enquêtés</0> – et ce faisant, ils induisent des changements positifs.

<0>De vastes écarts générationnels</0> apparaissent dans différents pays…

De toutes les questions de l’enquête, c’est celle-ci qui <0>divise le plus</0> les deux sexes chez les jeunes.

Ces résultats font échos à d’autres conclusions de notre enquête : Les jeunes femmes sont dans l’ensemble <0>plus préoccupées par la question de l’équité et de la lutte contre la discrimination</0> que les jeunes hommes.

Les attitudes envers les droits de la communauté LGBTQ+ ont évolué rapidement dans de nombreux pays ces trente dernières années. Pourtant, des discriminations persistent.

L’égalité pour certains

Ces dernières décennies, de nombreux pays ont légiféré afin de consacrer l’égalité des droits pour tous. Comment les opinions ont-elles évolué d’une génération à l’autre ?

En moyenne, nous avons recensé de solides majorités, d’ampleurs similaires, de jeunes et de personnes de âgées 40 ans et plus défendant l’importance de <0>traiter sur un pied d’égalité</0> les membres de ces groupes.

Il en est autrement dans les pays riches. Les jeunes y expriment une<0>plus grande préoccupation</0> quant aux questions d’équité et de discrimination que leurs aînés.

Cela est vrai pour <0>les minorités raciales et ethniques,</0>

et les <0>membres de la communauté LGBTQ+.</0>

Objectif égalité

Nous avons posé la même question partout dans le monde.

Dans <0>certains pays,</0> un nombre considérable de jeunes propose d’abaisser l’âge minimum de la majorité électorale en vigueur dans leur pays.

Ce souhait d’abaisser l’âge minimum de la majorité électorale est particulièrement répandu dans les <0>pays à revenu élevé.</0>

Il est également fréquemment recensé au <0>Cameroun</0> et au <1>Liban</1>, des pays dans lesquels l’âge de la majorité électorale est très élevé : 20 ans au <2>Cameroun</2> et 21 ans au <3>Liban.</3>

Nombre des personnes âgées de 40 ans et plus ont également fait part de leur soutien en faveur de l’abaissement de l’âge de la majorité électorale.

Les jeunes et leurs aînés s’accordent à dire non seulement que les enfants <0>devraient être davantage écoutés,</0> mais aussi qu’ils devraient pouvoir profiter davantage de leur indépendance avant le mariage.

La plupart des personnes dans les <0>pays en développement</0> préféreraient relever l’âge minimum du mariage fixé par les lois actuellement en vigueur — et, dans de nombreux pays, les personnes âgées de 40 ans et plus soutiennent particulièrement cette idée.

Le relèvement de l’âge légal du mariage pour les femmes fédère le plus de personnes en <0>Indonésie</0> et au <1>Cameroun</1>, deux pays dans lesquels l’âge légal du mariage pour les femmes est particulièrement bas.

Dans la plupart des pays, il faut avoir 18 ans pour bénéficier du droit de vote. Pourtant, il est possible de se marier plus jeune dans de nombreux pays, en particulier pour les femmes. Ne s’agit-il pas de trop grandes responsabilités sans suffisamment de liberté ?

Comment permettre aux enfants <0>de peser davantage sur les décisions qui affectent leur vie ?</0>

Libre d’être jeune

Les jeunes de ces pays sont deux fois plus susceptibles de penser que les enfants auront une <0>moins bonne situation financière</0> que leurs parents plutôt que <1>le contraire.</1>

Dans les pays riches, la plupart des jeunes disposent de ressources et de possibilités qui suscitent l’envie des jeunes des pays en développement.

Pourtant, lorsqu’ils sont interrogés sur leur avenir, les jeunes des pays riches semblent être <0>accablés par un malaise économique.</0>

De nouveau, les jeunes sont <0>plus positifs</0> que leurs aînés.

En moyenne, les personnes âgées de 40 ans et plus sont plus susceptibles de dire que les enfants auront une <0>moins bonne situation financière</0> que leurs parents.

L’<0>optimisme des réponses</0> des jeunes est un témoignage édifiant de leur foi dans le progrès.

La comparaison du niveau de vie d’un enfant avec celui de ses parents est l’un des critères de référence les plus importants pour évaluer la réussite d’un individu.

D’après cet indicateur, les jeunes semblent <0>plutôt confiants</0> dans les perspectives d’avenir de leur génération…

… pour autant, ne tirons pas de conclusions hâtives !

Cette foi dans le progrès chez les jeunes <0>fait défaut</0> dans la plupart des pays riches.

La plupart des jeunes ont tendance à considérer que le monde s’améliore de génération en génération. Comment envisagent-ils l’avenir dans leur pays alors que leur génération s’apprête à entrer dans l’âge adulte ?

À votre avis, quel pourcentage estime qu’ils auront une meilleure situation ?

Perspectives d’avenir

Une part importante des <0>jeunes</0> affirment se sentir très connectés au reste du monde.

Cela s’explique en partie par l’explosion d’Internet, qui contribue à établir des liens entre des personnes du monde entier.

Nous avons cherché à savoir si les <0>jeunes</0> (qui n’ont jamais connu un monde sans Internet) étaient <1>plus cosmopolites</1> que leurs aînés.

En moyenne, seuls 14 % des <0>personnes âgées</0> indiquent se sentir très connectées au reste du monde : c’est environ deux fois moins que les <1>jeunes.</1>

Dans les 55 pays étudiés, plus on est <0>jeune</0>, plus on est <1>susceptible</1> de se considérer comme un <2>citoyen du monde.</2>

Ce résultat est <0>significatif</0> : il témoigne d’un <1>profond changement</1> concernant la manière dont les personnes se perçoivent et les communautés auxquelles elles s’identifient le plus.

Contrairement aux personnes âgées, les <0>15-24 ans </0> d’aujourd’hui n’ont toujours connu qu’un monde façonné par la <1>mondialisation</1> et le <2>numérique.</2> Les changements qui s’opèrent dans le monde peuvent être à l’origine d’une évolution de l’identité.

Chacun de ces quatre facteurs — <0>vivre en ville</0>, <1>avoir suivi un enseignement supérieur</1>, <2>avoir accès à Internet</2> et s’informer grâce à des <3>sources numériques</3> — contribue à expliquer que certaines personnes se considèrent comme des <4>citoyens du monde.</4>

Qui se considère le plus comme un citoyen du monde ?

Citoyens du monde

Une proportion considérable de <0>jeunes</0> expriment avant tout un sentiment d’appartenance à la communauté internationale.

Cela reflète, en partie, l’explosion de l’utilisation d’Internet et un sentiment grandissant d’interconnexion à travers le monde.

Il est évident que ceux qui utilisent Internet <0>tous les jours</0> sont plus susceptibles de ressentir un sentiment d’appartenance envers la communauté internationale que ceux qui ne l’utilisent jamais.

De même, il sera plus aisé pour les personnes habitant <0>dans les villes ou en milieu urbain</0> de se considérer comme citoyens du monde.

Dans les 21 pays enquêtés, plus on vieillit, moins on s’identifie comme un citoyen du monde : cette probabilité diminue de 1 % à chaque nouvel anniversaire.

Cette découverte est l’une des <0>plus remarquables</0> de notre projet.

Cela reflète un <0>profond changement</0> en ce qui concerne la manière dont les personnes se considèrent et les communautés auxquelles elles s’identifient le plus.

Qui se considère davantage comme un citoyen du monde ?

En moyenne, trois jeunes sur cinq pensent que le monde <0>progresse vers un avenir meilleur</0>.

Si l’optimisme est plus répandu chez les jeunes, son degré varie d’un pays à l’autre.

Dans certains pays, le gouffre entre les générations est béant.

Dans l’ensemble, plus on vieillit, moins on s’identifie comme un citoyen du monde : cette probabilité <0>diminue de 1 %</0> à chaque nouvel anniversaire.

Outre leur âge, d’autres facteurs ont une incidence sur les opinions des personnes. Celles qui indiquent <0>faire face à des difficultés financières</0> sont moins enclines à être optimistes quant à l’avenir du monde. De plus, <1>les femmes sont 6 % moins susceptibles que les hommes</1> de dire que le monde s’améliore.

Le meilleur est-il déjà derrière nous ou reste-t-il à venir ? Voyez comment vous vous positionnez par rapport aux autres.

L’avenir du monde

En moyenne, 75 % des répondants âgés de <0>65 ans ou plus</0> utilisent principalement des sources d’information traditionnelles...

... contre seulement 19 % des <0>15-24 ans</0>.

Il existe un contraste saisissant entre les jeunes et les générations précédentes concernant l’utilisation des sources d’information <0>numériques</0> et <1>traditionnelles</1>.

L’écart est particulièrement marqué pour ce qui est de l’utilisation des réseaux sociaux.

C’est dans les <0>pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure</0> que l’on observe le clivage le plus net : les 15-24 ans sont plus de sept fois plus susceptibles de s’informer sur les plateformes de réseaux sociaux que les plus de 65 ans.

Dans les pays où l’accès au numérique est très répandu, mais où les sources d’information traditionnelles sont peu présentes sur Internet, ces dernières sont remplacées par les réseaux sociaux pour les jeunes.

La situation est très différente dans les pays à faible revenu, où une large partie de la population n’a pas accès à Internet. Environ 21 % des jeunes de ces pays affirment n’avoir aucune source d’information privilégiée.

En moyenne, 66 % des <0>15-24 ans</0> s’informent principalement grâce à des sources numériques...

... contre seulement 11 % des <0>plus de 65 ans</0>.

L’information est partout. Où trouvez-vous la vôtre ?

Les sources de référence

Cet écart est décelé dans <0>tous les pays enquêtés, indépendamment de la région et du niveau de revenu.</0>

Le projet « <0>L’enfance en évolution</0> »

Nous avons interrogé des jeunes et des personnes âgées de 40 ans et plus dans <0>55 pays</0>

Qu’est-ce que c’est que de <0>grandir dans le monde d’aujourd’hui ?</0>

Dans quelle mesure les générations <0>perçoivent-elles le monde différemment ?</0>

Embarquez à la découverte du <0>nouveau visage de l’enfance</0>

Les <0>plateformes de réseaux sociaux</0> sont de loin le moyen le plus répandu de s’informer pour les jeunes. Cela ne signifie pas pour autant qu’ils accordent leur confiance à ce qui défile sous leurs yeux.

Ce pourcentage est inférieur à la confiance accordée aux <0>médias d’information</0>, aux <1>scientifiques</1> ou aux <2>médecins et agents de santé</2> – autrement dit, à l’ensemble des autres sources d’information proposées !

Il s’avère que la plupart des jeunes internautes du monde entier utilisent les réseaux sociaux avec discernement.

Bien que toutes les générations fassent davantage confiance aux sources d’information traditionnelles...

... leur confiance à l’égard de ces sources reste toutefois relativement faible.

Porter un regard critique sur le contenu peut aider les jeunes à distinguer la réalité de la fiction à l’ère des fausses informations et de la désinformation.

Toutefois, cette méfiance est à double tranchant. Pour les jeunes, il est pénible de devoir mettre en doute la véracité des contenus qu’ils consomment le plus.

Ce manque de confiance fragilise également la cohésion sociale, ainsi que l’action collective nécessaire pour résoudre les problèmes.

À quel point faites-vous confiance aux informations que vous consommez ?

Croyons-nous tout ce que nous faisons défiler ?

Les jeunes se tournent bien davantage vers<0>les plateformes de médias sociaux</0> pour s’informer. Cela ne signifie pas pour autant qu’ils accordent leur confiance à tout ce qui défile sous leurs yeux.

Ce pourcentage est inférieur à celui des personnes qui considèrent comme très fiables les <0>médias nationaux traditionnels et les médias internationaux,</0> <1>les médecins et agents de santé,</1> ainsi que <2>les scientifiques</2> – et ce pour chacune des sources que nous avons étudiées !

Bien que les <0>jeunes</0> conviennent que tout ce qu’ils lisent n’est pas fiable, ils affichent un niveau de confiance supérieur par rapport à leurs <1>aînés</1> en ce qui concerne diverses sources d’informations et institutions.

Il est cependant une source envers laquelle les jeunes montrent <0>un niveau de confiance bien inférieur</0> à celui des personnes âgées de 40 ans et plus :

Au contraire, les <0>jeunes</0> se fient bien plus aux sources d’information suivantes que les <1>personnes âgées de 40 ans et plus</1> :

S’il est vrai que les <0>jeunes</0> affichent en moyenne un niveau de confiance plus élevé dans les médias sociaux que les <1>personnes âgées de 40 ans et plus,</1> il convient cependant de préciser que :

Parmi les personnes qui utilisent les médias sociaux pour s’informer, <0>les jeunes</0> sont 24 % moins susceptibles d’afficher un niveau élevé de confiance envers ces plateformes que <1>leurs aînés.</1>

Il s’avère que la plupart des <0>jeunes utilisateurs d’Internet</0> dans le monde<1>savent faire preuve de discernement lorsqu’ils</1> consultent des informations en ligne.

À quel point vous fiez-vous aux informations que vous consultez ?

Cependant, le <0>fossé générationnel</0> relatif au sentiment d’anxiété <1>varie d’un pays à l’autre…</1>

<0>Les jeunes âgés de 20 à 24 ans</0> sont plus susceptibles d’affirmer se sentir angoissés, nerveux ou préoccupés que <1>ceux âgés de 15 à 19 ans.</1>

<0>Ceux qui déclarer éprouver des difficultés financières</0> sont plus susceptibles d’affirmer se sentir angoissés, nerveux ou préoccupés que <1>ceux qui déclarent avoir un niveau de vie élevé.</1>

<0>Les jeunes disposant d’un diplôme d’études supérieures</0> sont moins susceptibles de se sentir anxieux, nerveux ou préoccupés que ceux <1>qui ne sont pas diplômés.</1>

Partout dans le monde, les jeunes font part de leur inquiétude croissante concernant la question de la santé mentale. Et cette inquiétude est pleinement justifiée.

Comment les personnes se sentent-elles intérieurement ?

Fardeaux psychologiques

Nous avons interrogé les jeunes et les personnes âgées de 40 ans et plus sur leur <0>bien-être mental.</0> Répondez au questionnaire pour découvrir leurs réponses.

Les jeunes souffrent davantage de fardeaux psychologiques que leurs aînés.

En moyenne, 77 % des <0>jeunes</0> se connectent à Internet tous les jours, d’après les résultats de notre enquête.

Ils sont bien plus nombreux que les personnes <0>âgées de 40 ans et plus,</0> dont la moitié seulement se connecte quotidiennement.

Néanmoins, la connexion n’est pas la même partout. Il existe une fracture numérique considérable dans le monde…

Les outils numériques et les services en ligne comportent certains avantages pour les enfants.

En moyenne, une majorité <0>de jeunes</0> considère que la technologie numérique constitue une aide précieuse pour les enfants dans les domaines suivants :

En premier lieu, les jeunes sont plus enclins à considérer qu’Internet bénéficie grandement aux enfants en matière d’<0>éducation</0>.

<0>Les personnes âgées de 40 ans et plus</0> reconnaissent également les nombreux bons côtés d’Internet pour les enfants, mais elles sont moins enthousiastes que les jeunes. Cela est vrai en ce qui concerne :

C’est un monde numérique. À quel point votre génération est-elle connectée ?

Possibilités offertes par Internet

La confidentialité des données n’est que l’une des préoccupations liées à l’utilisation d’Internet.

En moyenne, la réponse la plus répandue chez les <0>jeunes utilisateurs d’Internet</0> indique qu’ils sont « relativement préoccupés » à cet égard.

Au contraire, chez les <0>utilisateurs plus âgés</0>, la réponse la plus fréquente indique qu’ils sont « fort préoccupés » à ce sujet.

Des pourcentages similaires de <0>jeunes</0> et de <1>personnes âgées de 40 ans et plus</1> affirment n’être « aucunement préoccupées ».

Les avis varient grandement <0>d’un pays à l’autre…</0>

Une majorité des <0>jeunes</0> dans la plupart des pays enquêtés considèrent chacun des scénarios suivants comme très dangereux pour les enfants : discuter en ligne avec des inconnus ; rencontrer quelqu’un en personne après avoir fait connaissance en ligne ; et faire l’objet d’intimidations ou de harcèlement sexuel.

Les jeunes femmes sont bien plus susceptibles de percevoir les dangers d’Internet, notamment pour les enfants.

Internet offre une multitude de possibilités à ses utilisateurs. Néanmoins, il comporte également de nombreux risques, en particulier pour les jeunes.

Risques en ligne

Vue d’ensemble

L’autre crise climatique

Sous pression

Là où vous vous sentez « chez vous »

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Répondez à la question ci-dessus pour en savoir plus sur le nouveau visage de l’enfance.

L’enquête menée par l’UNICEF et Gallup dans 55 pays a demandé aux jeunes et aux moins jeunes de faire part de leur expérience du monde d’aujourd’hui.

Nous avons interrogé des personnes âgées de 15 à 24 ans et des personnes âgées de 40 ans et plus dans 21 pays afin d’étudier comment l’enfance évolue.

Conditions d’utilisation

En moyenne, <0>85 % des jeunes</0> déclarent avoir entendu parler des changements climatiques.

En moyenne, seuls 50 % ont choisi la bonne définition : une hausse des températures mondiales moyennes et de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes résultant de l’activité humaine.

Les autres répondants pensent que ce terme désigne les changements saisonniers de température.

Il est clair qu’<0>il reste beaucoup à faire</0> pour sensibiliser les jeunes du monde entier aux changements climatiques.

Cela est particulièrement vrai dans les <0>pays les plus pauvres</0>, qui contribuent le moins à la crise et qui pourtant y sont les plus exposés.

La bonne nouvelle, c’est que la population mondiale est davantage sensibilisée aux changements climatiques aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a une quinzaine d’années.

En 2008, seulement 56 % de la population avait connaissance du problème.

Aujourd’hui, ce pourcentage atteint environ 80 %.

On observe en outre une légère amélioration de la compréhension de la crise climatique dans tous les groupes d’âge durant la même période.

Cependant, la connaissance de ce phénomène progresse bien trop lentement. L’incapacité à comprendre la crise climatique entrave notre aptitude à y répondre.

L’éducation aux questions climatiques peut contribuer à renforcer la volonté de changement.

Les changements climatiques constituent une épreuve sans précédent pour l’humanité. C’est de loin la jeune génération qui en paiera le plus lourd tribut. À quel point les jeunes comprennent-ils cet enjeu ?

En moyenne, <0>seuls 80 %</0> des jeunes déclarent avoir entendu parler des changements climatiques.

En moyenne, seuls 56 % ont bien répondu : une hausse des températures mondiales moyennes et de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes résultant de l’activité humaine.

Les autres répondants pensent qu’il s’agit plutôt de changements saisonniers des températures.

Il est évident qu’<0>il reste encore beaucoup à faire</0> pour sensibiliser les jeunes du monde entier aux changements climatiques.

Cela est particulièrement vrai dans les <0>pays les plus pauvres.</0>

Ce manque de compréhension du phénomène des changements climatiques ne concerne pas uniquement les jeunes.

En moyenne, les personnes âgées de 40 ans et plus ne sont pas mieux informées sur ces questions.

L’incapacité à comprendre la crise climatique se traduit par une inaptitude à y répondre. Cela <0>entrave sérieusement</0> la mise en place de mesures efficaces à l’échelle mondiale.

La crise climatique constitue une épreuve sans précédent pour l’humanité. Il incombera essentiellement à la jeune génération de la surmonter. À quel point les jeunes comprennent-ils ce phénomène ?

Comment <0>sensibiliser davantage</0> aux changements climatiques dans le monde ?

La crise climatique constitue une épreuve sans précédent pour l’humanité. Il incombera essentiellement à la jeune génération de le relever. À quel point les jeunes comprennent-ils ce phénomène ?

En moyenne, 59 % des <0>jeunes</0> estiment que les enfants connaissent aujourd’hui une plus grande pression de réussir que leurs parents durant leur enfance.

Cela est vrai dans presque <0>tous les pays</0> enquêtés.

Il ne s’agit pourtant pas seulement de jeunes qui s’apitoieraient sur leur sort…

À chaque génération, de nouvelles possibilités de s’épanouir s’offrent aux enfants. Cependant, ces derniers peuvent également ressentir le poids des attentes qui pèsent sur eux.

Nous avons constaté qu’en moyenne, les <0>jeunes</0> sont à peu près aussi nombreux à exprimer un sentiment d’appartenance plus fort envers la communauté internationale et envers leur ville ou leur région.

Cependant, les avis diffèrent selon les pays, mais également selon le niveau de revenu des pays...

Comment interpréter ce sentiment d’appartenance plus fort envers le monde ? Les personnes qui expriment un tel sentiment sont sans doute plus <0>ouvertes sur le monde</0>et <1>moins attirées par les idéologies nationalistes.</1>

Celles qui affirment qu’elles aimeraient déménager dans un autre pays, par exemple, sont </0>presque deux fois plus susceptibles de se considérer comme des citoyens du monde</0> que les autres.

Certaines personnes se sentent surtout connectées à leur environnement immédiat. Pour d’autres, cette connexion va plus loin.

Là où l’on se sent « chez soi »

Certaines personnes ressentent un sentiment d’appartenance plus fort envers leur environnement immédiat. Pour d’autres, les liens sont plus étendus.